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RÉSUMÉ
Les évolutions récentes des technologies liées aux interfaces clients doivent beaucoup à ce qu’on appelle communément le web 2.0. Les trois aspects du web 2.0 s’attachent à l’amélioration et l’augmentation des interactions entre les internautes et les sites web, entre les applications web, ou entre les internautes. L’intéraction internautes-sites web est celle abordée dans cet article, notamment la création d’interfaces plus riches et portables sous différents média (navigateurs, téléphones mobiles, etc). L’objectif est ainsi de mettre en lumière les principaux acteurs et technologies de ce nouveau paysage. Sont donc étudiées et opposées les deux types de solutions : les applications web riches (RIA) et les applications de bureau riches (RDA).
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Lire l’articleAuteur(s)
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Pierre POMPIDOR : Laboratoire d'informatique, de robotique et de microélectronique de Montpellier (LIRMM)
INTRODUCTION
Les technologies Web 2.0 ont comme but principal d'améliorer et d'augmenter les interactions entre les différents acteurs du web que sont principalement les internautes et les sites web. Par le biais de ces technologies, ces interactions doivent être magnifiées suivant trois axes différents :
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entre les internautes et les sites web : interactions améliorées par la création d'interfaces plus riches et portables sous différents média (navigateurs, téléphones mobiles...) ;
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entre applications web, car favorisées par l'adoption d'architectures basées sur l'intégration de flux de données (notamment via la connexion à la demande à des services web ou à des fils d'informations) ;
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entre internautes : fruit de processus d'informations qui, en permettant un vrai travail collaboratif entre ceux-ci, vont les faire participer directement à la construction du contenu des sites web (voire à leurs structures).
Le but de notre article n'est pas de couvrir ces trois aspects du Web 2.0, (cette ambition serait démesurée et le dernier point exigerait des compétences qui, en sortant du cadre strict de l'informatique, nous échapperaient), mais de se focaliser plus particulièrement sur les innovations opérées sur les interactions entre les internautes et les sites web. Nous allons notamment passer en revue les technologies qui autorisent la création d'interfaces d'une aussi bonne qualité graphique et ergonomique que celles qui étaient jusqu'à lors dévolues aux clients lourds (c'est-à-dire traditionnellement aux applications indépendantes connectées à des serveurs de données).
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4. Conclusion
Le web 2.0 désigne le cadre de développement et d'exécution d'applications web qui essaient d'associer la souplesse des technologies web « clientes » classiques (XHTML/CSS/Javascript, Flash, applets Java...) avec les avantages qui étaient jusqu'alors l'apanage des clients lourds (interfaces complexes, accès aux ressources locales du poste client, connexions réseaux optimisées).
Cette voie se décline en deux types de solutions :
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les applications web riches (RIA) qui restent hébergées par le navigateur ;
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les applications de bureau riches (RDA) qui en sortent pour s'appuyer sur des frameworks complets (notamment les frameworks Java ou .NET), en s'appuyant également sur le web pour la gestion simplifiée de leur installation ou de leurs mises à jour.
Malheureusement, la nature étant ce qu'elle est, derrière les notions d'ouverture et d'interopérabilité portées par la spécification des codes en XML, nous risquons de retrouver le classique cloisonnement opéré par les grands acteurs (Microsoft, Sun. Adobe et maintenant Google...) de ce bas monde.
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Conclusion
ANNEXES
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À lire également dans nos bases
CHAUVET (J.M.) - Architecture SOA. Traitements et processus en XML - [H 6 006] (2008).
CALABRETTO (S.) - ACCARY (T.) - XML : gestion de contenus web - [H 3 502] (2006).
SAINT-AMAND (N.) - Feuilles de style CSS – Évolution des technologies du web - [H 7 162] (2008).
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