Simone WÜNSCHMANN
Fliederweg, Haren
La surveillance intégrée de l’environnement est à l’ordre du jour depuis maintenant de nombreuses années, notamment à travers des programmes de recherches. Ces études permettent à travers l’établissement d’indicateurs spécifiques d’obtenir des informations qualitatives (bioindication) et quantitatifs (biosurveillance) sur les pollutions ou la dégradation des écosystèmes d’une région donnée. Les informations sélectionnées, testées, parfois extrapolées, et interprétées peuvent constituer des données utilisables et devenir des connaissances établies. La bioindication et la biosurveillance sont des méthodes très prometteuses, mettant en œuvre une instrumentation appropriée et des procédures de mesures de substances chimiques, d’activité enzymatique ou d’autres paramètres pertinents basées sur la spectrométrie ou la photométrie.