Charles TRUILLET
Ingénieur doctorant - Institut Lumière Matière, UMR 5306, Université Lyon 1 – CNRS, Université de Lyon, Villeurbanne cedex, France
Cet article décrit l'intérêt des nanoparticules hybrides multimodales (nanoparticules d'or, à base de silice, d'oxyde de fer et de quantum dots) de moins de 10 nm pour une application en oncologie. Les nanoparticules hybrides peuvent servir d'agent d'imagerie ou d'agent thérapeutique pour la détection et/ou le traitement de tumeurs. Elles présentent l'avantage d'augmenter le signal par objet, de pouvoir combiner différentes techniques d'imagerie et de pouvoir cibler la zone d'intérêt tout en présentant une élimination rénale relativement rapide.