Jean ROUQUEROL
Directeur de recherches émérite au CNRS Aix-Marseille Université-CNRS, Laboratoire MADIREL unité mixte de recherche n °7246, France
Les phénomènes physiques, chimiques et biologiques s’accompagnent très souvent d’échanges de chaleur mesurable, d’où la place centrale de la calorimétrie dans bon nombre d’expérimentations, mais aussi d’applications. Actifs ou passifs, hybrides ou diathermes, découvrez les calorimètres les plus utilisés.
ARTICLE INTERACTIF
Examinez les méthodes les plus répandues pour caractériser, par adsorption d’azote, la taille des pores des matériaux nanoporeux. Ces derniers font très souvent l’objet d’un traitement destiné à les ajuster en taille de pores, en aire spécifique et en fonctions chimiques superficielles.
ARTICLE INTERACTIF
Découvrez les méthodes les plus courantes pour accéder par adsorption gazeuse à la détermination de l’aire superficielle d’un matériau divisé. Cette caractéristique est à corréler directement avec les propriétés adsorbantes d'un matériau pulvérulent ou poreux.
Les événements, physiques ou chimiques, qui surviennent dans un matériau s'accompagnent d'un dégagement ou d'une absorption de chaleur. La mesure de ces échanges est appelée la microcalorimétrie. Le principe et différents types de microcalorimètres sont décrits avec leurs applications principales. Enfin cet article aborde les applications de la microcalorimétrie où une élévation de température au sein d'un matériau permet d'initier un phénomène.