Camille Paschal
Journaliste scientifique independante
Utilisant des oligomères cycliques, la start-up Novecal développe des catalyseurs innovants. Elle propose aussi de tracer les voies de synthèse sur mesure.
Jeune start-up montpelliéraine, Womed travaille depuis 2018 à l'élaboration de traitements innovants pour traiter les pathologies utérines. Utilisant un polymère biocompatible et biodégradable, elle promet aux femmes de retrouver leur fertilité.
Et si vos dents étaient capables de repousser comme celles des requins ? C’est le défi qu’espère relever une équipe de chercheurs japonais, qui a déjà réussi l’expérience chez des souris et des furets.
Alors que l’intelligence artificielle s’immisce dans tous les domaines, la start-up Visionairy l’introduit dans le contrôle qualité. En la combinant avec des caméras industrielles, la jeune entreprise propose de faciliter les inspections, d’améliorer leur précision et par conséquent de réduire les rebuts.
Alors que l’urgence climatique se fait de plus en plus pressante, la réduction et le stockage du carbone deviennent indispensables. Pour y parvenir, différentes options basées sur la préservation de l’environnement ou sur des technologies de pointe sont étudiées.
Valoriser la chaleur fatale à basse température, un rêve fou ? Pourtant c’est le défi qu’a relevé la start-up Entent grâce à sa technologie Pulse basée sur un nouveau cycle thermodynamique. Une solution qui permet à la fois de maîtriser le coût de l’électricité, mais aussi de décarboner l’industrie. Focus sur cette jeune pousse prometteuse qui exposera au salon Global Industrie, du 25 au 28 mars*.
Gagnante du concours des innovations de Global Industrie dans la catégorie jeune pousse, Ajelchim, co-entreprise entre Chimirec et Ajelis, est sous le feu des projecteurs. Basée sur la technologie de dépollution des liquides d’Ajelis, elle promet un traitement efficace et à moindre coût.
Jeune pousse couvée par la station F à Paris, Spore.bio promet de révolutionner les analyses en agroalimentaire, cosmétique et pharmaceutique. Alliant l’optique et l’intelligence artificielle, elle détecte en quelques secondes les bactéries dans les échantillons, reléguant la boîte de pétri au passé.
Grâce à sa technologie innovante basée sur l’émission d’un rayon laser couplée avec des logiciels d’intelligence artificielle, la start-up iUMTEK promet d’analyser tous types de matériaux en profondeur. Après six années d’existence, elle s’apprête à proposer un nouvel outil de mesure en temps réel, intégré aux lignes de production.
Des chercheurs du Tennessee aux États-Unis ont mis au point un nouveau supercondensateur en carbone poreux aux performances impressionnantes. Leur approche, basée sur le machine learning, a permis des résultats rapides.
Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), 39 % des adultes dans le monde sont en surpoids, 13 % sont obèses et le nombre de cas d’obésité a presque triplé depuis 1975. Face à ces chiffres alarmants, les chercheurs tentent de trouver les mécanismes qui favorisent cette maladie, considérée comme la cinquième cause de mortalité par l’OMS. Le fructose serait-il à l’origine de cette épidémie ?
La popularité des intelligences artificielles ne cesse de croître, notamment avec l’avènement de ChatGPT. Et la start-up Raidium surfe sur la vague puisqu’elle propose de faciliter le travail des radiologues. Aide au diagnostic, à la réalisation de bilan, Raidium veut intégrer l’IA au médical. Focus sur cette jeune entreprise.
Inspiré par le venin du serpent mamba, le chercheur Nicolas Gilles développe au sein de sa start-up V4Cure les médicaments de demain qui permettront de soigner deux pathologies rénales graves.
Les mégots sont partout et polluent les terres et les océans. Pour remédier à ce problème majeur, deux ingénieurs ont l’objectif de recycler ces déchets toxiques en oreillers, doudounes et même filaments 3D. Focus sur Smoky, jeune start-up francilienne.
Que faire de nos objets du quotidien en fin de vie ? Pour la jeune entreprise Module Carré, la réponse est simple : des revêtements de sol. Grâce à un procédé pauvre en produits chimiques, elle garantit une nouvelle vie à nos déchets.
Alors que les injonctions à limiter les émissions de CO2 se font de plus en plus prégnantes, certaines entreprises inventent de nouvelles méthodes pour recycler cette matière encombrante. Focus sur Fairbrics, jeune start-up parisienne qui utilise le dioxyde de carbone pour produire des fibres de polyester.
40 000 coquilles d'œufs sont incinérées chaque année. Pour limiter ce gaspillage, la start-up Circul’egg extrait de ces déchets des molécules d'intérêt, utilisées dans l’industrie de l’agroalimentaire, du BTP ou encore de la cosmétique. Focus sur une entreprise qui ne cesse de s’étendre.
Commencé en pleine crise du Covid-19, le consortium BlackCycle, porté par une dizaine d’industriels, développe un procédé de recyclage des pneus. La technologie se base sur la pyrolyse, capable de dépolymériser la gomme pour en revenir à ses composés primaires.
Près de 35 % des véhicules hors d’usage (VHU) se retrouvent encore dans la nature. Pour les mettre en valeur, le gouvernement renforce la législation. Un moyen de valoriser ces objets qui contiennent de nombreux matériaux recyclables : plastiques, métaux, pièces détachées…
Les solutions pour limiter les emballages jetables sont de plus en plus plébiscitées, que ce soit par les consommateurs ou les fabricants. L’une de ces options est celle du réemploi et de la réutilisation qui permettent d'allonger la durée de vie des produits manufacturés.
Alors que la flotte automobile tend à devenir de plus en plus électrique, que faire des batteries en fin de vie qui vont inonder le marché ? Différentes techniques de recyclage se développent afin de traiter ces éléments complexes.
Alors que les besoins de matériaux d’isolation ne font que croître, les fabricants de polyuréthane tentent de verdir la production de ce matériau multifonction. Très difficile à recycler et utilisant des ressources fossiles et toxiques, le chemin paraît encore long. Ou pas ?
La Commission européenne revoit la législation autour des gaz fluorés, connus pour détruire la couche d’ozone. Utilisées principalement comme réfrigérants, ces substances chimiques sont présentes dans de nombreux objets du quotidien. Comment faire pour les remplacer ?
Avec des déchets plastiques qui s'accumulent, la Commission européenne souhaite mettre en place de nouveaux moyens de les traiter. Les industriels proposent une technologie de recyclage par voie chimique, capable de rendre circulaires des déchets auparavant enfouis ou incinérés. Mais qu’en est-il vraiment ?