Léon NOUINDE
Ingénieur en construction mécanique option énergétique, Directeur qualité à l’ENSIATE (Enseignement supérieur d’ingénierie appliquée à la thermique, l’énergie et l’environnement)
À l’heure de la publication de cette fiche pratique, nous sommes huit milliards d’individus à vivre sur la Terre. Chaque être cherche à tout le moins à se loger, s’habiller, se déplacer et s’éduquer. Pour satisfaire les différents besoins, il faut produire et/ou fabriquer, consommer et jeter les déchets. Le corollaire de ce mode de fonctionnement est l’amoncellement vertigineux des déchets tous secteurs confondus. Face à l’augmentation de la quantité des biodéchets, que peut-on ou que doit-on faire ? Ce guide vous invite à réorienter votre consommation, en passant d’un modèle de consommation linéaire (produire, consommer et jeter) à un modèle de consommation plus vertueux et durable. Ainsi, il faut produire mais moins ; il faut consommer, mais mieux et puis recycler tout ce qui doit l’être faisant ainsi des biodéchets une ressource partiellement valorisable.
Pour mettre en œuvre cette stratégie, ce guide a été structuré autour des sections suivantes :
En France, le secteur du bâtiment et de la construction figure au premier rang des émetteurs de gaz à effet de serre avec 145 millions de tonnes équivalents CO2 par an, ex æquo avec les transports.
Du fait de la prise en compte de plus en plus importante des aspects environnementaux dans notre quotidien, nous allons cibler les équipements énergivores que l’on peut rencontrer dans la plupart des bâtiments tertiaires ou industriels. Nous en ferons une liste et verrons, pour chaque cas, quelles sont les actions à mener pour optimiser la performance énergétique, permettant de réaliser des économies d’énergie sans dégrader le confort des occupants. Nous nous intéresserons à la régulation intelligente de l’ensemble des équipements identifiés par le biais de la GTC (gestion technique centralisée) et de la GTB (gestion technique du bâtiment). Enfin, un rappel des obligations sera fait à l’ensemble des personnes physiques ou morales impactées par le décret BACS qui régit le déploiement de cette technique innovante.
Cette fiche pratique a donc pour but d’alerter tous les acteurs du secteur bâtiment sur la nécessité de mettre en place un pilotage innovant afin de relever les défis environnementaux et sociétaux à venir.
L’arrêt de la construction des véhicules thermiques en 2035 est confirmé par le Parlement européen. À terme, ils seront remplacés par des véhicules électriques dont l’un des sujets récurrents est l’entretien. Si vous êtes gestionnaire de la flotte ou bien responsable de maintenance du parc automobile de votre société, alors cette fiche vous concerne.
Le type de véhicule, sa puissance, l’âge et le nombre de kilomètres déjà parcourus sont autant de paramètres qui impactent sa maintenance. Dans le premier volet de cette fiche, nous allons mettre en évidence les modèles de véhicules concernés, les fonctions et formes de la maintenance et quelles sont les qualifications nécessaires pour exercer ce métier. Le second volet sera consacré aux activités et au contrat de maintenance. Pour finir, nous parlerons brièvement de la maintenance digitalisée de demain et des aides qui pourraient en découler.
Le secteur du bâtiment (résidentiel, tertiaire ou industriel), qui est l’un des grands consommateurs d’énergie thermique, doit s’engager dans la voie de la sobriété énergétique pour permettre à la France de diminuer de 30 % sa consommation d’énergie fossile d’ici à 2030.
Dans le secteur du bâtiment, il existe au moins deux pistes (BEPOS, bâtiment à énergie positive et BEPAS, bâtiment à énergie passive) que nous allons aborder dans cette étude.
Celle-ci s’attache à prouver que les bâtiments à énergie passive et/ou bâtiments à énergie positive s’imposent comme les standards de demain pour gagner ce pari. Pour le démontrer, cette fiche pratique a été structurée autour des points suivants :
Enfin, l’étude se conclut par un focus sur les aides et les préjugés qu’il faut surmonter pour prendre part à la réduction de la consommation de l’énergie fossile.
Le secteur des bâtiments d’une façon générale et celui des bâtiments industriels en particulier sont concernés par la réduction des gaz à effet de serre en France pour atteindre la neutralité carbone en 2050, comme mentionné dans la loi énergie climat du 8 novembre 2019. L’amélioration de l’efficacité énergétique de l’enveloppe d’un bâtiment fait partie des solutions à envisager pour répondre à cette problématique.
Anticipez ce processus avant qu’une loi ou un décret ne vienne imposer une date d’exécution.
En tant que chef d’entreprise ou responsable énergie/environnement de votre société, cette fiche pratique va vous aider à engager le dialogue avec les experts d’audits énergétiques censés vous orienter vers les meilleures opportunités. Cet article fait le point sur :
Les économies d’énergie sont devenues une priorité absolue sur le plan individuel et collectif, car les risques de pénurie d’énergie et les fluctuations des coûts n’épargneront personne.
Vous êtes responsable du site industriel d’une entreprise et vous venez de prendre la décision de rénover l’ensemble des bâtiments situés sur ce site. Cette décision courageuse a un coût, mais elle présente de multiples avantages qui vont au-delà du gain financier et de l’attitude écoresponsable de votre entreprise.
Cette fiche pratique va vous permettre de mener les actions suivantes :
L’audit énergétique formule un ensemble de préconisations qui découlent des problématiques identifiées grâce aux mesures effectuées sur votre site. Il est à renouveler tous les quatre ans dans le but d’évaluer l’évolution de la consommation en énergie de votre société et de vous inciter à entreprendre des actions d’amélioration de votre performance énergétique.
Les avantages qui découlent de cette pratique sont les suivants :
Cette fiche pratique va vous permettre de mener chronologiquement les actions suivantes :
Le management de l’énergie a pour but d’éviter de mener des actions de réduction de la consommation énergétique de façon disparate, sans planification ni objectif. C’est une démarche d’amélioration continue de la performance énergétique qui repose sur des procédés, des outils de pilotage, des actions d’économie d’énergie et des comportements.
Vous avez fait le choix de mettre en place le système de management de l’énergie (SME) dans votre entreprise suite à une démarche SWOT. Cependant, vous n’avez pas le temps ni les compétences pour initier le projet. Suivez donc ce guide pratique qui est structuré autour des points suivants :
Le Facility Management (FM) est un concept qui regroupe des métiers, parfois simples, mais indispensables, qui ont pour objectif de créer un environnement de travail propice à l’efficacité et au bien-être des usagers. Notre étude reposera sur cette définition, qui n’est toutefois pas unique.
Les entreprises font généralement appel à ce service afin d’externaliser un certain nombre de tâches qui ne relèvent pas directement de leur cœur de métier. La mise en place du processus est articulée autour de cinq piliers :
Ces tâches peuvent à divers titres contribuer à la réduction des consommations d’énergie des dispositifs ou bâtiments utilisés ou occupés par les usagers.
L’un des moyens pour répondre à l’incitation des pouvoirs publics à demeurer sobre énergétiquement est la norme ISO 50001. Cette norme internationale a été mise en place le 15 juin 2011 par l’ISO (organisme international de normalisation) et a été révisée en 2018.
D’application volontaire, sa mise en œuvre permet de :
Dans le premier volet de cette étude, nous décrirons le processus de mise en œuvre de la norme. Le second volet sera consacré à la certification. Enfin, l’étude sera close par le financement du projet.
Vous souhaitez mettre en place un projet de transition énergétique dans votre entreprise. Pour réussir ce challenge, vous devez comprendre les enjeux de cette transition, c’est-à-dire optimiser la performance énergétique de votre site ainsi que son impact climatique. Vous devez également bâtir une stratégie à la hauteur de ces enjeux, c’est-à-dire l’intégration d’un ou plusieurs axes d’amélioration tels que la réduction de la consommation énergétique et l’adoption d’un mix énergétique pérenne.
Vous souhaitez réaliser des travaux d’économie d’énergie dans votre local industriel et améliorer l’image éco-citoyenne de votre entreprise. La réglementation environnementale RE2020 ainsi que l’article R172 -10-1 du décret n° 2021-1004 du 29 juillet 2021 sont les voies et moyens pour mener à bout ce projet. Mais par où commencer ?
Afin de réaliser efficacement la rénovation énergétique qui découle de cette mise aux normes, ce guide a été structuré autour des sujets suivants :
Les bénéfices attendus sont de trois ordres à savoir : la sobriété énergétique, la décarbonisation de l’énergie consommée et la garantie du confort en période d’hiver et en période d’été lors des fortes chaleurs.
Le temps de l’énergie bon marché est révolu. Au 1er janvier 2020, la France disposait d’un parc automobile de 38,2 millions de véhicules, dont seulement 1 % de véhicules électriques. Alors, comment choisir le véhicule le plus adapté à votre utilisation quotidienne tout en respectant les nouvelles réglementations et directives de l’État sur l’environnement ?
C’est la problématique que cette fiche pratique va tenter de résoudre en tenant compte de l’existence de véhicules thermiques dans votre parc automobile actuel. Pour atteindre cet objectif, les points suivants sont abordés au cours de cette étude :
La dernière partie de la fiche porte sur la sensibilisation et la formation des salariés à l’écoconduite.