Sébastien NOUET
Chercheur université Paris-Est – Institut de recherche en constructibilité – École spéciale des Travaux Publics du Bâtiment et de l’industrie (Cachan, France) - Membre de l’Institut des Actuaires
Depuis les années 1980, les matrices conséquences – probabilités ont été adoptées et généralisées par les expertises QHSE, sûreté de fonctionnement, maîtrise des risques et par le contrôle interne comme méthodologie d’identification, d’analyse et d’évaluation des risques. L’ISO 31 010 classe cette technique aux étapes du processus d’appréciation du risque comme parfaitement applicable pour (i) l’identification et l’analyse, (ii) l’évaluation du risque. Cet article se positionne sur la nécessaire réévaluation de cette méthodologie pour décider de l’acceptabilité des risques.