Guy MURRY
Ingénieur de l’École nationale supérieure d’électrochimie et d’électrométallurgie de Grenoble. Docteur-ingénieur - Ingénieur-conseil métallurgie et aciers - Ancien directeur de l’OTUA
Le succès d’un procédé soudage implique la notion fondamentale de continuité métallique des éléments à assembler. La mise en jeu de forces de liaison interatomiques de type métallique, hors présence de corps étranger, est donc fondamentale. Outre cet aspect, l’article traite des procédés permettant de créer cette liaison, des phénomènes intervenant dans ce mécanisme et des essais disponibles pour évaluer au final la soudabilité métallurgique.
Cet article est une compilation des données numériques extraites de travaux japonais conduits sur des essais de fluage de très longues durées sur 49 alliages dont 42 aciers parmi lesquels on peut trouver des nuances normalisées en Europe. L’originalité des analyses japonaises des résultats obtenus réside en partie dans le fait que des méthodes paramétriques ont été utilisées pour quantifier les relations entre les paramètres définissant, pour chaque nuance, les conditions opératoires, température, charge unitaire et temps et faire la synthèse des résultats. Pour terminer, est présentée une courbe d’aide au choix.
Cet article est une présentation, sous forme de tableaux, de données numériques relatives à plusieurs nuances : les aciers non alliés, les aciers faiblement alliés et les aciers alliés avec 5 < Cr % < 12. La référence de la norme qui décrit la donnée est à chaque fois précisée. Sont ainsi présentées les caractéristiques de base (analyse chimique, propriétés de traction), les valeurs garanties de limite d’élasticité à chaud (lorsqu’elles sont imposées) et les caractéristiques de résistance au fluage rassemblées pour matérialiser le domaine d’emploi de l’acier considéré.
Cet article est une compilation des données numériques relatives aux aciers réfractaires ferritiques, et aciers réfractaires austénitiques, disponibles dans l’ensemble des normes où ils sont définis. Chaque tableau rappelle les caractéristiques de base (analyse chimique, propriétés de traction), les valeurs garanties de limite d’élasticité à chaud (dans la mesure où elles sont imposées) et les caractéristiques de résistance au fluage rassemblées pour matérialiser le domaine d’emploi de l’acier considéré.
Les aciers devant résister au fluage sont définis dans plusieurs normes, fonction de l’emploi considéré (produits plats, barres laminées, tubes sans soudure…). Cet article est une compilation des données numériques disponibles dans l’ensemble de ces normes. Chaque tableau rappelle les caractéristiques de base (analyse chimique, propriétés de traction), les valeurs garanties de limite d’élasticité à chaud (dans la mesure où elles sont imposées) et les caractéristiques de résistance au fluage rassemblées pour matérialiser le domaine d’emploi de l’acier considéré.
L'acier entre dans la composition de nombreux ouvrages en construction et en génie civil. Il se présente sous de nombreuses nuances, avec des propriétés, des caractéristiques et des formes différentes. Cet article présente tous les critères permettant de choisir un acier de construction métallique, la normalisation correspondante et les possibilités de mise en oeuvre liées à chaque type d'acier de construction.
La déformation plastique par fluage s’effectue à charge et température constantes, mais à une vitesse de déformation variant continûment dans le temps. Cet article débute par une présentation des mécanismes élémentaires du fluage. Il enchaîne ensuite sur la caractérisation de la tenue au fluage avec la description de l’influence des paramètres, puis l’exploitation et l’extrapolation des résultats. Il aborde pour terminer les classes des aciers résistant au fluage et leurs critères de choix.