Laurent MOLINARI

Cofondateur & COO – Zen'to Technologie, France

  • Article de bases documentaires : AG6753 (relu et validé)
    L'impression 3D dans une perspective de développement durable

    Les imprimantes 3D sont une réelle révolution technologique, ouvrant des perspectives immenses dans de nombreux secteurs industriels. Mais qu’en est-il de l’environnement ? En allongeant la durée de vie des produits, l’impression 3D pourrait devenir un acteur fort du développement durable.

  • Article de bases documentaires : IAG6753
    L'impression 3D et développement durable - Infographie

    Comment l’impression 3D peut-elle contribuer à un mode de développement écoresponsable ? Quelles sont les limites de cette technologie et peut-elle être à l’origine d’une nouvelle révolution industrielle ?

    Cette infographie, synthèse graphique de l’article AG6753, reprend en images et graphiques les points essentiels du sujet.

  • Article de bases documentaires : G8385
    GREEN IT : « mythe ou réalité »

    Le Green IT a pour ambition d’adresser la question de l’impact environnemental de l’industrie, des produits et services du secteur des technologies de l’information et de la communication (TIC). Ce sujet inclut également l’ensemble des organisations qui mettent en œuvre, pour leurs collaborateurs ou leurs clients, des systèmes informatiques ou de télécommunications. L’évolution de ce marché soulève à juste titre des inquiétudes pour l’environnement, l’accroissement de 10 % par an de la consommation électrique et le taux des émissions à effet de serre attribués à ce secteur ont de quoi affoler. La force du Green IT est qu’il repose sur les référentiels connus, au sens ISO 26000. Il regroupe l’ensemble des concepts où les TIC constituent des leviers de transformation et d’amélioration de l’impact environnemental des activités humaines.

  • Article de bases documentaires : G8305
    De la comptabilité carbone au management des GES

    Dans la démarche actuelle de lutte contre le changement climatique, les organisations internationales se sont mobilisées, elles ont défini des objectifs de réduction concernant les principaux gaz à effet de serre (GES). La quantification des émissions de ces gaz s’est donc avérée nécessaire, et avec elle le besoin d’élaborer des méthodes fiables permettant de compter le carbone. Des reproches sont d’ores et déjà faits à cette comptabilité ; imprécisions de certains indicateurs et absence d’outil de comparaison. Au-delà de cet objectif de bilan, cette méthodologie doit permettre de construire autour de ce thème une démarche d’amélioration basée sur une approche systématique.