Martine MINY
Le guide Project Management Body of Knowledge (PMBoK) est le référentiel de connaissances en management de projet publié par le Project Management Institute (PMI). Depuis sa création, il a fait l’objet d’actualisations à plusieurs reprises. La 5ème version, la plus récente, a été publiée en 2013.
L’Individual Competence Baseline for Project, Programme and Portfolio Management (ICB), est le référentiel de compétences en management de projet élaboré par l’International Project Management Association (IPMA). Il a fait l’objet d’actualisations à plusieurs reprises. La 4ème version, la plus récente, a été publiée à l’automne 2015.
Cette fiche vous présente les spécificités de ces référentiels largement répandus.
La norme 21504 est une norme générique qui s’applique au management de portefeuilles de projets et de programmes. Comme la 21500, elle s’adresse à tous types d’organismes dans tous les secteurs d’activité. Résultat d’un consensus international, ce fascicule d’une quinzaine de pages présente les principes généraux d’élaboration et de fonctionnement d’un portefeuille de projets et de programmes. La décision et la mise en œuvre d’un portefeuille sont en effet très structurantes pour le management d’un organisme. Il importe donc de mettre toutes les chances de son côté pour la réussite d’une telle opération.
Cette fiche présente les points essentiels de cette norme, et répond à une thématique d’actualité dans les entreprises
Lorsque l’on parle de management de projet, l’attention est généralement focalisée sur le chef de projet, perçu comme « l’homme-orchestre » capable de tout résoudre avec son « couteau suisse ». Dans les petits projets, le chef de projet est en effet souvent le seul affecté à l’animation du projet et est amené à réaliser l’ensemble des tâches de management du projet. Cette vision est cependant réductrice de la réalité de la plupart des projets et contribue à masquer la technicité et le rôle des autres membres de l’équipe projet.
Cette fiche vous présente le rôle des deux acteurs impliqués dans la maîtrise des coûts du projet, l’estimateur et le coûteneur.
Lorsque l’on parle de management de projet, l’attention est généralement focalisée sur le chef de projet, perçu comme « l’homme-orchestre » capable de tout résoudre avec son « couteau suisse ». Dans les petits projets, le chef de projet est en effet souvent le seul affecté à l’animation du projet et est amené à réaliser l’ensemble des tâches de management du projet. Cette vision est cependant réductrice de la réalité de la plupart des projets et contribue à masquer la technicité et le rôle des autres membres de l’équipe projet.
Parmi les fonctions essentielles nécessaires au management d’un projet figure en premier lieu celle du planificateur. Portrait d’un acteur méconnu et indispensable à la maîtrise des délais du projet.
S’organiser en projet pour concevoir et réaliser toutes sortes d’« objets » nouveaux, nécessitant des concours pluridisciplinaires, est désormais une pratique courante dans la plupart des organismes, quels que soient leur taille et leur secteur d’activité.
Cette intégration du mode projet a pour effet de faire cohabiter des projets de nature, priorité et valeurs ajoutées différentes, sources de tensions et de conflits au sein de l’organisme.
Ces difficultés récurrentes sont en général à l’origine de la mise en place d’une structure chargée de manager le portefeuille de projets et d’assurer ainsi un fonctionnement global plus efficace au service de l’organisme.
Rassembler les compétences nécessaires à la réalisation d’un projet relève d’une démarche structurée en trois étapes principales :
Dans la mise en place des compétences nécessaires à un projet, la première étape, celle de l’identification, consiste à définir une cible « idéale », tout en sachant que, selon toute probabilité, elle ne pourra être totalement atteinte.
Elle est cependant déterminante pour le projet car, confrontée à la réalité des compétences mobilisables, elle permet de constater l’écart et de mesurer ainsi un des risques majeurs du projet.
Dans tout projet, la construction d’une dynamique collective bénéfique au projet passe par une bonne compréhension des besoins et des comportements des différents acteurs. Ce qui paraît une évidence à énoncer est moins simple à réaliser, car il est facile de commettre des erreurs préjudiciables à l’efficacité collective.
Cette fiche vous permet d’identifier les points sensibles de la dimension multiculturelle, qu’ils soient liés aux différences inhérentes à la diversité des univers professionnels ou des pratiques culturelles. Vous favoriserez ainsi une meilleure efficacité de l’équipe.
Pour mener à bien un projet, deux éléments clés doivent être réunis : une organisation en phase avec la problématique à traiter, et des acteurs à la fois motivés et compétents. En effet une organisation, aussi pertinente soit-elle, ne peut être efficace sans les personnes qui la font vivre. Bien que l’attention soit plus fréquemment attirée sur les processus de management de projet, négliger la dimension compétence fait courir un risque important à un projet.
Cette fiche vous rappelle l’importance de la prise en compte des compétences dès les étapes d’organisation du projet, de définition du périmètre, d’établissement du « qui fait quoi », etc.
Un objectif clé des responsables de projet, de programme ou de portefeuille est d’obtenir le succès et d’éviter l’échec de leurs efforts. Ils ont donc besoin de connaitre les critères d’évaluation de la réussite et de l’échec. Définir ces critères distinctement et clairement dès le début du projet est une nécessité. Ces critères donnent la définition globale et concrète du succès pour atteindre les objectifs du projet, programme ou portefeuille et sont déterminants pour le management du projet.