Christophe MARVILLET

Professeur du CNAM (Conservatoire national des arts et metiers) - IFFI-CNAM (Institut français du froid industriel et du génie climatique) Paris, France

  • Article de bases documentaires : Fiche pratique : 1784
    Mettre en place les obligations de la F-Gas

    L’impact des fluides frigorigènes de type HFC sur l’effet de serre est significatif. Il repose sur les éléments suivants :

    • potentiel de réchauffement global (PRG) : les HFC ont un PRG beaucoup plus élevé que le CO₂ ; par exemple, le HFC-134a, couramment utilisé dans les réfrigérants, a un PRG de 1 430 fois celui du CO₂ ; cela signifie qu’une tonne de HFC-134a dans l’atmosphère équivaut à 1 430 tonnes de CO₂ en termes de réchauffement climatique ;
    • émissions mondiales : selon les estimations, la réduction progressive des HFC pourrait éviter jusqu’à 0,5 °C d’augmentation de la température mondiale d’ici la fin du siècle.

    L’objectif global de réduction des HFC dans le cadre de l’Accord de Kigali et des règlements européens F-Gas pourrait permettre une réduction de plus de 70 milliards de tonnes d’équivalent CO₂ d’ici 2050. Cela correspondrait à une contribution significative aux efforts mondiaux pour limiter le réchauffement climatique à 1,5 °C ou 2 °C.

    Ces données chiffrées montrent à quel point l’élimination progressive des HFC est cruciale pour atténuer l’impact des gaz à effet de serre sur le climat mondial.

  • Article de bases documentaires : Fiche pratique : 1787
    Mettre en place des recommandations de l’EN 378

    Le déploiement de la norme EN 378 s’inscrit dans un contexte réglementaire, industriel, environnemental et technologique complexe. Voici les principaux éléments qui expliquent cette évolution.

    • Contexte législatif et réglementaire européen : l’Union européenne impose des cadres législatifs stricts pour la sécurité, la santé publique et la protection de l’environnement.
    • Pressions environnementales et engagements climatiques : le déploiement de l’EN 378 s’inscrit dans une volonté de lutter contre le changement climatique, notamment en réduisant les émissions de fluides frigorigènes à fort impact environnemental.
    • Avec le développement de nouvelles technologies dans le domaine des systèmes de réfrigération, le besoin de standards de sécurité adaptés est devenu évident. L’EN 378 répond à ces besoins en offrant des lignes directrices pour la gestion des risques associés à ces nouveaux systèmes.
    • Réduction des accidents et des risques associés : les accidents liés à la réfrigération, tels que les explosions de réfrigérants inflammables, les intoxications ou les brûlures par le froid, ont mis en lumière la nécessité de renforcer les règles de sécurité.
    • Assurer une meilleure formation des techniciens et des installateurs pour minimiser les erreurs humaines.
    • Marché globalisé et harmonisation des pratiques : la norme EN 378 permet une harmonisation des pratiques en matière de réfrigération au sein de l’Union européenne, facilitant le commerce transfrontalier des équipements et des technologies tout en assurant des niveaux de sécurité équivalents dans tous les États membres.
  • Article de bases documentaires : Fiche pratique : 1811
    Mener un audit énergétique réglementaire

    Les objectifs de l’audit énergétique réglementaire sont d’orienter le propriétaire d’immeubles dans son choix de travaux de rénovation énergétique et de lui permettre de se mettre en conformité avec la nouvelle loi, notamment dans le cas de la location ou de la vente d’un bien très énergivore classé F ou G.

    Cet audit devra ainsi permettre aux propriétaires de ce type de logements fortement consommateurs d’énergie de bénéficier de scénarios de travaux pour améliorer leurs performances énergétiques et environnementales, en complément du DPE.

  • Article de bases documentaires : Fiche pratique : 1815
    Appliquer le décret BACS aux bâtiments tertiaires et industriels

    La mise en place du décret BACS (Building Automation & Control Systems) vise à accompagner le décret tertiaire. Ce dernier a pour objectif une réduction drastique des consommations d’énergie à échéance 2030. Le décret BACS impose de mettre en place un système d’automatisation et de contrôle des bâtiments, d’ici au 1er janvier 2025 ; il concerne tous les bâtiments tertiaires non résidentiels pour lesquels le système de chauffage ou de climatisation, combiné ou non à un système de ventilation, a une puissance nominale supérieure à 290 kW. Pour les installations d’une puissance nominale supérieure à 70 kW, cette exigence devra être respectée d’ici au 1er janvier 2027.

    Pour cela, le décret BACS impose pour les bâtiments tertiaires de :

    • suivre, enregistrer et analyser les données de consommation énergétique ;
    • ajuster en temps réel la consommation des systèmes techniques en fonction des besoins ;
    • détecter et alerter les responsables d’exploitation des potentielles dérives de consommation, en amont des défauts de fonctionnement, afin d’éviter une surconsommation et des coûts de maintenance supplémentaires.

    Le décret BACS concerne tous les propriétaires des systèmes techniques présents dans un bâtiment tertiaire non résidentiel, neuf ou existant, si les équipements ont une puissance nominale supérieure à 290 kW (2025) ou 70 kW (2027). Ces systèmes comprennent tout équipement technique : chauffage, refroidissement, ventilation, production d’eau chaude sanitaire, éclairage, production d’électricité sur le site considéré, automatisation et contrôle des bâtiments.

  • Article de bases documentaires : Fiche pratique : 1817
    Produire de la chaleur à faible contenu carbone pour les usages industriels

    La consommation d’énergie primaire de la France s’élève à 2 571 TWh en 2020 (en données non corrigées des variations climatiques). Le bouquet énergétique primaire réel de la France se compose de 40 % de nucléaire, 28 % de pétrole, 16 % de gaz naturel, 14 % d’énergies renouvelables et déchets et 2 % de charbon. À l’exception des énergies hydraulique, photovoltaïque et éolienne (qui représentent à elles trois une somme de 117 TWh), les énergies primaires sont dans un premier temps transformées en énergie thermique puis pour certaines en énergie mécanique et électrique. L’énergie finale alors consommée pour les usages du bâtiment, des transports et de l’industrie, est évaluée à près de 1 600 TWh annuels (année 2020).

    Dans cette fiche, nous nous limitons aux usages thermiques strictement industriels (hors production d’électricité) pour les utilités et les procédés de transformation industrielle par l’intermédiaire de chaudières ou de fours.

  • Article de bases documentaires : Fiche pratique : 1791
    Assurer le relamping d’un bâtiment industriel

    Le temps de présence annuel des personnes est de 1 650 heures dans les bureaux ; une part significative de ce temps nécessite l’usage de luminaires. Par ailleurs, la durée de l’éclairage des parties communes est comprise entre 1 600 et 1 700 heures. Les espaces de bureaux seuls comprennent en France 53 500 luminaires (115 500 lampes et 85 500 ballasts) pour un ensemble de 82 400 luminaires (170 000 lampes et 122 500 ballasts) tous usages confondus, soit une densité de 0,2 luminaire par m². Seuls 6 % de cet ensemble de luminaires ont été rénovés.

    Le flux énergétique moyen dans les locaux de bureaux est évalué à 15,7 W/m2, alors qu’avec les technologies récentes, le flux accessible, avec un même confort visuel, est de 7 W/m2.

    Il est donc impératif de réduire ces consommations énergétiques associées à l’éclairage. Cette fiche vous aidera à maintenir voire à améliorer les niveaux de confort visuel requis tels que définis par la norme AFNOR NF X35-103 « Principes d’ergonomie applicables à l’éclairage des lieux de travail » et de mettre en place des technologies de lampes moins consommatrices en énergie.

  • Article de bases documentaires : Fiche pratique : 1798
    Produire du froid avec des solutions à faible contenu carbone

    La contribution à l’émission de gaz à effet de serre des dispositifs de production de froid, dont la plupart sont fondés sur l’évaporation d’un fluide – appelé fluide frigorigène – puis sur la compression et la condensation de la vapeur formée, est double :

    • une contribution par émission à l’atmosphère des fluides frigorigènes suite à des fuites ou des manipulations lors de la maintenance ou à l’arrêt définitif de l’installation ;
    • une contribution associée à la consommation d’énergie électrique du compresseur et des auxiliaires tels que pompes et ventilateurs.

    Un ensemble d’obligations réglementaires s’appliquent depuis plusieurs années à l’activité de production de froid et tend à imposer des contraintes nouvelles pour les années à venir.

  • Article de bases documentaires : Fiche pratique : 1802
    Valoriser les chaleurs fatales

    Les besoins en énergie thermique répondent aux exigences des procédés divers : séchage, concentration ou distillation, chauffage et apport thermique aux réacteurs chimiques. Ces besoins sont couverts pour 60 % par des combustibles fossiles (gaz, fioul, charbon), 30 % par l’énergie électrique et le reliquat pas des ressources diverses (renouvelables, biomasse…).

    Au cours de ces processus, des quantités importantes de chaleurs sont libérées à plus bas niveau de température. Une part de cette chaleur est directement valorisée en étant réinjectée dans le procédé ou pour permettre un préchauffage des flux entrants ; une autre part est rejetée à l’atmosphère sans valorisation.

    Pour valoriser ces pertes nettes, notamment en dessous de 200 °C, différentes technologies de valorisation énergétique sont envisageables. Au-delà de 200 °C, peu de technologies de valorisation sont disponibles, si ce n’est les récupérateurs thermiques.

    Cette fiche doit vous permettre d’identifier les solutions techniques de valorisation.

  • Article de bases documentaires : Fiche pratique : 1783
    Gérer le décret tertiaire

    La loi Élan pose un objectif de réduction des consommations énergétiques des bâtiments : -40 % en 2030, -50 % en 2040 et -60 % en 2050 par rapport à 2010 ou l’atteinte d’un seuil de performance énergétique défini pour chaque typologie de bâtiments.

    À ce jour, tous les bâtiments existants à usage tertiaire de plus de 1 000 m² sont concernés. L’obligation de réduire les consommations d’énergie s’impose aux bailleurs comme à leurs locataires.

    Pour respecter le décret tertiaire, il convient :

    • d’enregistrer vos bâtiments relevant de ce décret sur la base informatique OPERAT ;
    • d’évaluer vos consommations de référence ;
    • d’assurer le suivi de vos consommations ;
    • d’engager les actions d’économie d’énergie identifiées dans votre plan déposé sur OPERAT.
  • Vous exploitez une entreprise industrielle. Le poste associé à la consommation d’énergie représente un poids important dans le bilan financier. L’augmentation des coûts de l’énergie rend une analyse de ces consommations indispensable. Est-ce que la consommation d’énergie de l’entreprise se justifie ? Est-ce que cette énergie est utilisée à bon escient ?

    Le plan de comptage s’inscrit dans le processus de management de l’énergie défini par la norme ISO 50001 dans la phase de « surveillance et mesurage » du processus d’amélioration continue du système de management de l’énergie.

    Cette fiche pratique vous aidera à :

    • établir un état des lieux énergétique et métrologique d’un site industriel ;
    • identifier les facteurs d’influence et les indices de performance énergétique du site (IPE) ;
    • mettre en œuvre les bonnes pratiques lors de l’exécution du plan de comptage ;
    • identifier les points de mesure et l’instrumentation et exploiter les mesures et les données ;
    • réaliser un suivi des IPE pour permettre l’identification et la pérennisation des sources d’économies d’énergie.
  • L’évaluation des économies d’énergie sur la période de suivi (période qui suit la mise en œuvre des modifications de l’installation et qui peut durer plusieurs années) est essentielle pour assurer un calcul des gains énergétiques et donc financiers obtenus ; cela doit également permettre dans le cas d’un CPE une juste rémunération des contractants. Pour autant, cette évaluation est une démarche complexe qui nécessite un dispositif méthodologique de référence : c’est l’objectif du protocole IPMVP.

    Le protocole IPMVP (en français : protocole international de mesurage et de vérification de la performance énergétique) est destiné aux professionnels pour utilisation en tant que référence pour la préparation des rapports de suivi des économies générées dans le cadre des AEE/MCE (MCE, mesurage des consommations d’énergie) ou CPE.

    Cette fiche pratique vous présente les étapes pour le déploiement de ce protocole. Il s’agit :

    • d’énumérer des objectifs des techniques de M&V (mesurage et vérification) ;
    • de présenter des principes fondamentaux d’un bon M&V et leurs applications dans l’industrie ;
    • de définir la structure de l’IPMVP et ses quatre options ;
    • de définir les moyens pour spécifier l’utilisation de l’IPMVP ;
    • d’identifier des informations clefs qui doivent être présentes dans chaque rapport de suivi des économies.
  • Article de bases documentaires : Fiche pratique : 1777
    Analyser les données de consommation énergétique

    Dans l’entreprise ou les bâtiments dont vous avez la responsabilité, il est indispensable d’identifier les consommations énergétiques, que ce soit à partir des données de facturation ou des données issues d’un plan de comptage.

    Cette fiche décrit la manière dont pourra s’articuler un processus d’audit énergétique dans lequel s’inscriront ces éléments d’information, afin de s’assurer de disposer des bons leviers d’amélioration de l’efficacité énergétique. Pour permettre l’analyse des données collectées, il conviendra notamment de :

    • distinguer les consommations énergétiques ;
    • mettre en place les instruments de mesure ;
    • permettre le suivi des informations via un logiciel de gestion.
  • Article de bases documentaires : Fiche pratique : 1790
    Traiter l’air et climatiser en limitant la consommation d’énergie

    Pour rendre le bâtiment plus économe en énergie tout en respectant les exigences réglementaires de confort et de qualité de l’air intérieur, différentes préconisations pour les architectures, les composants et les dispositifs de régulation doivent être faites et plusieurs techniques existent afin de réaliser un traitement d’air et une climatisation avec une faible consommation d’énergie.

    Le traitement d’air dans un bâtiment permet de répondre aux exigences de différentes normes et plus particulièrement de la norme EN 16798, relative à la performance énergétique et la ventilation des bâtiments. Elle s’applique aux bâtiments non résidentiels.

    Cette fiche aborde les différentes exigences de performances pour les systèmes de ventilation et de climatisation prévues par la norme EN 16798.

  • Article de bases documentaires : Fiche pratique : 1771
    Définir la transition énergétique

    Vous souhaitez mettre en place un projet de transition énergétique dans votre entreprise. Pour réussir ce challenge, vous devez comprendre les enjeux de cette transition, c’est-à-dire optimiser la performance énergétique de votre site ainsi que son impact climatique. Vous devez également bâtir une stratégie à la hauteur de ces enjeux, c’est-à-dire l’intégration d’un ou plusieurs axes d’amélioration tels que la réduction de la consommation énergétique et l’adoption d’un mix énergétique pérenne.

  • Article de bases documentaires : Fiche pratique : 1774
    Évaluer le retour financier des certificats d’économie d’énergie (CEE)

    Le dispositif CEE repose sur une obligation triennale de réalisation d’économies d’énergie en CEE (1 CEE = 1 kWh cumac d’énergie finale) imposée par les pouvoirs publics aux fournisseurs d’énergie (les « obligés »). Ces obligés – plus de 500 entreprises sur le territoire français – sont constitués des fournisseurs d’énergie (électricité, gaz, carburant, etc.). Ceux-ci sont ainsi incités à promouvoir activement l’efficacité énergétique auprès des consommateurs d’énergie : ménages, collectivités territoriales ou professionnels.

    Les CEE sont attribués, sous certaines conditions, par les services du ministère chargé de l’Énergie, aux acteurs éligibles réalisant des opérations d’économie d’énergie. Ces actions peuvent être menées dans tous les secteurs d’activités (résidentiel, tertiaire, industriel, agricole, transport, etc.), sur le patrimoine des éligibles ou auprès de tiers qu’ils ont incités à réaliser des économies d’énergie.

    Cette fiche pratique s’adresse aux acteurs éligibles du secteur industriel et permet :

    • d’identifier les opérations standardisées applicables à votre secteur d’activité ;
    • d’identifier les opérations spécifiques applicables à votre entreprise ;
    • d’évaluer les montants forfaitaires d’économie d’énergie dans les opérations standardisées ;
    • d’évaluer la valeur financière du kWh cumac et recouvrir les primes financières associées au CEE.
  • Article de bases documentaires : BE9756 (relu et validé)

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    Applications industrielles du froid - Industries utilisatrices

    La plupart des secteurs industriels ont recours à l’utilisation du froid, citons l’industrie agroalimentaire, les industries de transformation et le traitement des déchets. Les fonctions associées à la réfrigération y sont nombreuses et très diversifiées.

  • Article de bases documentaires : BE9755 (relu et validé)

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    Applications industrielles du froid – Généralités

    La réfrigération dans le monde industriel se décline sous quatre aspects : le froid-procédé, le froid-maintien, le froid-sécurité et le froid-confort. Pour chaque application, la recherche de réduction des coûts énergétiques est devenue incontournable.

  • Article de bases documentaires : BE9570 (relu et validé)

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    Fluides caloporteurs et frigoporteurs - Définitions. Critères de choix

    Connaissez-vous la variété des fluides caloporteurs présents sur le marché ? Les applications industrielles pour le refroidissement de procédés à température inférieure à l’ambiante sont nombreuses.  La sélection de ce fluide est le résultat d’un processus complexe d’évaluation de divers paramètres et critères.

  • Article de bases documentaires : BE9571 (relu et validé)

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    Fluides caloporteurs - Propriétés

    Au-delà  de leur fonction, les fluides caloporteurs doivent respecter bon nombre de contraintes techniques, environnementales et économiques. Eau, fluide organique ou sel fondu, les fluides  vont bientôt contenir des nanoparticules, ce qui leur permettra d’augmenter leur conductivité thermique.

  • Article de bases documentaires : BE9572 (relu et validé)

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    Fluides frigoporteurs – Propriétés

    Découvrez les performances énergétiques des différents fluides frigoporteurs, les traditionnelles saumures mais aussi ceux à faible impact environnemental. Les frigorigènes bi-phasiques liquide-solide, notamment les coulis, devraient connaître un développement industriel dans les prochaines années.

  • Connaissez-vous la variété des fluides caloporteurs présents sur le marché ? Les applications industrielles pour le refroidissement de procédés à température inférieure à l’ambiante sont nombreuses.  La sélection de ce fluide est le résultat d’un processus complexe d’évaluation de divers paramètres et critères.

  • Article de bases documentaires : BE9572
    Fluides frigoporteurs - Propriétés

    Découvrez les performances énergétiques des différents fluides frigoporteurs, les traditionnelles saumures mais aussi ceux à faible impact environnemental. Les frigorigènes bi-phasiques liquide-solide, notamment les coulis, devraient connaître un développement industriel dans les prochaines années.

  • Article de bases documentaires : BE9571
    Fluides caloporteurs - Propriétés

  • Article de bases documentaires : BE9755
    Applications industrielles du froid - Généralités

    La réfrigération d’un corps, d’un procédé... est un processus d’abaissement de température de ce produit ou de ce procédé au-dessous de la température ambiante. Ce processus endothermique peut mettre en œuvre des dispositifs technologiques variés. Il suppose également un niveau de température du procédé compris entre le zéro absolu et la température ambiante. Les domaines traditionnels d’emploi de la réfrigération sont le conditionnement de l’air pour le confort des êtres vivants et le bon fonctionnement des équipements industriels sophistiqués, le refroidissement ou la congélation après récolte, la transformation et l’entreposage de produits alimentaires les procédés de transformation de produits par refroidissement, condensation, congélation, cristallisation…

  • La plupart des secteurs industriels ont recours à l’utilisation du froid, citons l’industrie agroalimentaire, les industries de transformation et le traitement des déchets. Les fonctions associées à la réfrigération y sont nombreuses et très diversifiées.

  • Article de bases documentaires : B2341
    Échangeurs de chaleur - Description des échangeurs

  • Article de bases documentaires : B2344
    Échangeurs de chaleur - Problèmes de fonctionnement

  • Article de bases documentaires : B2342
    Échangeurs de chaleur - Dimensionnement thermique