Frédéric MARTINET
La numérisation massive de l’information ainsi que la multiplication des contenus générés par les utilisateurs (UGC) circulant sur Internet amène plus que jamais à se poser la question de la vérification de l’information. Cette information est-elle vraie ? Qui l’a réellement émise ? A-t-elle été altérée et rediffusée modifiée ?
Le travailleur du savoir ne peut plus se dispenser de se poser ce type de questions et il devra le faire d’autant plus que l’impact de l’information peut être critique sur une prise de décision.
Il est donc important de rappeler les principes essentiels de la validation de toutes informations et d’apporter des moyens et outils afin d’évaluer et de qualifier cette information.
Nous rappellerons donc quels sont les points les plus essentiels à ne pas oublier.
La veille est une activité délicate à défendre et pour laquelle le retour sur investissement peut être parfois aussi difficile à prouver.
De fait, cette fonction essuie souvent les critiques les plus acerbes quant à son utilité.
Il est donc important de bien comprendre quels sont aujourd’hui les reproches qui peuvent lui être faits afin de savoir orienter le positionnement de la veille dans l’entreprise et d’en prouver la valeur.
Digimind est une solution relativement simple et puissante d’utilisation. Il est toutefois important de connaître son fonctionnement, ses possibilités et ses limites.
Afin de réaliser sa veille avec Digimind Evolution, le préalable est de bien déterminer ce que l’on souhaite et qui seront les utilisateurs de la solution ainsi que leurs profils. Cette étape préliminaire ne doit pas être négligée et facilitera alors l’utilisation de Digimind Evolution pour la réalisation du sourcing, le paramétrage des surveillances, la réalisation des livrables.
Les années 2000 ont vu la fermeture, en entreprise, d’un nombre important de centres de documentation ou, tout du moins, une réduction drastique des budgets qui leur étaient alloués. La veille, corollairement, s’est légèrement développée, amenant l’information vers ceux qui en avaient besoin, mais le phénomène principal observé est que les collaborateurs se tournaient vers d’autres sources d’information, d’autres ressources, exposant ainsi les centres d’information ou les services de veille à l’épineuse question, si ce n’est de leur intérêt, de leur rentabilité.
À travers cette fiche, nous essaierons d’expliquer quels peuvent être les moyens de valoriser les services de veille, leurs limites, les indicateurs imaginables, mais aussi les limites de l’intérêt du calcul du ROI sur certains types d’activités.
Un des points clés de la veille consiste à collecter une information pertinente pour l’entreprise permettant de limiter les risques (perte de parts de marché, évolutions législatives, risque image, etc.) ou de favoriser le développement, et, dans tous les cas, d’avoir une meilleure perception de son environnement.
Les plans de veille sont au centre du processus de collecte. Ils doivent permettre de concilier :
Le plan de veille doit permettre d’organiser et de retrouver facilement les sources mises en surveillance par thématique, utilisateur ou secteur d’activité, voire, dans l’idéal, pour chacune des clés d’entrée.
Nous verrons ici comment structurer son plan de veille et comment le remplir avec des sources adéquates.
L’intelligence économique sous-entend une transversalité dans son organisation et intègre trois principaux domaines de compétences et d’action que sont :
Ainsi, mettre en place et organiser l’intelligence économique au sein d’une entreprise peut paraître complexe.
Dans cette fiche, nous expliquerons :
L’organisation du temps de travail est souvent majoritairement tournée vers l’intérieur de l’entreprise ou vers ses clients. Pourtant, il est clair qu’une partie du développement de l’activité de votre entreprise dépend de la performance et de l’agressivité de vos concurrents, de la qualité de leurs produits et des prix qu’ils pratiquent.
La veille concurrentielle est trop souvent reléguée en second plan des priorités.
L’objectif de cette fiche est de vous guider dans la mise en place d’une démarche concurrentielle en :
La collecte d’information prend de nos jours une toute autre ampleur : paradoxalement, alors que l’information se multiplie, il peut devenir de plus en plus difficile de la trouver. Non pas parce qu’elle n’existe pas, mais parce qu’elle est noyée dans la masse.
Les praticiens de la veille ont donc régulièrement recours à des logiciels pour automatiser toute ou partie de la collecte d’information, et parfois également son traitement. Mais aussi pour permettre la diffusion de l’information en mode push ou son accessibilité en mode pull.
Sélectionner un logiciel de veille est une étape complexe car tout logiciel de veille comporte des aspects techniques et des aspects métiers (veille).
Or, les DSI qui interviennent dans le choix de nombreux logiciels connaissent en général assez mal les spécificités des logiciels de veille qui ne font pas partie du paysage standard des applications déployées en entreprise.
Avec cette fiche, nous vous proposons de vous guider dans la rédaction du cahier des charges de votre logiciel de veille.
Les logiciels de veille requièrent des aspects fonctionnels et techniques complexes. On y trouve entre autres les problématiques de furtivité, de volumétrie, de cloaking, qui sont tout autant de mots barbares pour les personnes en charge de l’acquisition de logiciels plus standards.
Par ailleurs, chaque éditeur de logiciel de veille a son propre langage, son propre mode de facturation, des offres plus ou moins modulaires qui rendent leur comparaison difficile.
Ce benchmark des solutions de veille vous guidera dans la conduite d’un comparatif des solutions de veille, étape par étape.