Laurent LEVIER
Officier de Sécurité - Orange Business Services
Dans les débuts de l’informatique, les méthodes d’accès se faisaient par des liens directs entre des terminaux et des serveurs « mainframes » centraux. Avec l’avènement d’Internet, de nouveaux risques d’accès vers des systèmes sont apparus sans qu’il soit possible d’empêcher les accès illégitimes. Avec cette nouvelle menace, il est apparu un concept associé visant à réduire ce risque : le pare-feu ou la notion de périmètre. Présent dans de multiples systèmes d’exploitation, IP Filter offre une solution logicielle de pare-feu très complète, performante, utilisable aussi bien pour protéger un serveur qu’un périmètre.
ARTICLE INTERACTIF
Comment auditer la qualité des mots de passe d'un système informatique ? Vous trouverez ici les outils pour implémenter votre propre solution de "cassage" des mots de passe cryptés et ainsi pour évaluer leur qualité.
Nuire aux réseaux informatiques et aux plateformes qu’ils hébergent est tout à fait possible pour une personne mal intentionnée, en s’en prenant par exemple à ses fonctions de routage ou en usurpant les adresses IP. Cet article présente les moyens d’identifier les faiblesses du système, qu’elles soient d’architecture, d’authentification, de configuration ou de programmation. Sont ensuite détaillés les outils disponibles à ce jour permettant de concevoir des attaques de machines, la vulgarisation des techniques facilite malheureusement leur utilisation par des pirates même inexpérimentés.
Cet article est consacré aux attaques des systèmes informatiques, menaces devenues plus que préoccupantes en quelques années car accessibles maintenant à un très grand nombre. Il s’intéresse plus spécifiquement aux techniques, méthodes et outils pour identifier les services des réseaux et le système d’exploitation offerts par la machine. Ce sont par ces points d’entrée que le pirate pénétrera dans l’ordinateur.
La sécurité des réseaux informatiques est devenue un véritable fléau que personne aujourd’hui ne cherche à nier. Pour procéder à une attaque, une personne mal intentionnée cherche par différentes techniques à connaître le réseau et ses faiblesses. Ces faiblesses à exploiter dans le but par exemple de récupérer des informations, modifier le comportement d’un réseau ou lui nuire par saturation de ressources, sont nombreuses, d’autant plus nombreuses si les équipements sont insuffisamment sécurisés.
Retrouvez ici toute la méthodologie pour installer et configurer une machine virtuelle, puis un datacenter open source haute disponibilité.
Revers de la médaille de la puissance de l’internet, l’envoi en masse de messages publicitaires, appelé spam, envahit nos messageries dans des proportions grandissantes. Apprenez quelles sont les solutions techniques pour lutter contre ce fléau, devenu également support à des attaques malveillantes.
Avec l’avènement du protocole HTTP et d’Internet, les besoins de communication d’un périmètre à un autre se sont multipliés . Afin d’assurer la sécurité des accès vers Internet, des solutions comme le pare-feu ont été créées. Mais avant cela, ces services étaient assurés par les relais applicatifs, soit nativement gérés dans des services réseaux, comme DNS ou SMTP, soit créés pour assurer ces fonctions de sécurité. Cet article présente la mise en œuvre d’un relais applicatif principalement destiné à la base à gérer le protocole HTTP. Les points importants à la mise en œuvre d’un tel service sont présentés ainsi que les outils fournis par le logiciel.
Le logiciel Squid possède la faculté de s'interfacer avec des logiciels tiers, décuplant ainsi ses possibilités et offrant des services inhérents à tout relais applicatif digne de ce nom, tels que le filtrage antivirus ou le filtrage d'URL pour bloquer les utilisations abusives ou illégales d'Internet. Par ailleurs, les entreprises disposant d'une authentification centralisée pourront renforcer l'accès Internet par un contrôle d'accès. Enfin, Squid sait aussi offrir des traces, mais peu exploitables. Heureusement, des logiciels tiers permettent de combler cette lacune par la production de rapports plus ou moins granulaires.
Aux débuts de l’ère informatique, la nécessité d’adresser des dizaines de machines n’existait pas car l’architecture était centralisée, et le nombre de machines très réduit. Puis, l’avènement d’Internet et des réseaux à base de TCP/IP a démultiplié cette problématique, l’échange d’information est devenu possible entre des millions de machines avec adresse IP. La mise en place d’un service de nommage (DNS : Domain Name Service) a permis de régler ce problème. La mise en œuvre d’un service de noms est une mission critique pour un réseau TCP/IP, mais cette tâche n’est pas techniquement complexe. Cet article donne au lecteur toutes les informations nécessaires pour construire son infrastructure de service de noms.