Martin J. GANDER
Professeur de mathématiques - Section de Mathématiques, Université de Genève
ARTICLE INTERACTIF
Les ordinateurs massivement parallèles permettent avec grande facilité de décomposer les sous-domaines des méthodes de décomposition en un nombre phénoménal. Cette approche est nécessaire pour paralléliser le processus de résolution. Mais qu’en est-il alors de leur temps d’exécution et de leur efficacité ?
ARTICLE INTERACTIF
Les méthodes de décomposition de domaines ont été élaborées pour résoudre des problèmes de grande taille. Elles les partitionnent en des sous-problèmes de petite taille sur des géométries plus simples. Exemple est pris avec plusieurs approches appliquées à l’équation de la température d’un corps.