André BORIES
Docteur en biologie végétale - Directeur de recherche INRA - Unité expérimentale de Pech Rouge (Gruissan)
Des traitements adaptés permettent de venir à bout de la pollution organique des effluents vinicoles, il n’en est pas de même pour leur pollution olfactive, conséquence inévitable du développement de micro-organismes anaérobies dans ces eaux résiduaires. Cet aspect constitue une problématique environnementale à ce jour encore incomplètement solutionnée. Après un rappel sur la réglementation, l’article aborde les résultats obtenus avec les traitements curatifs, puis préventifs. Les premiers s’avèrent peu efficaces, les seconds plus prometteurs, notamment pour les émissions diffuses.