L’optimisation des coûts de corrosion impose un ensemble de choix successifs relatifs à l'emploi de métaux et d’alliages pouvant être utilisés sans aucune protection surajoutée. Entre résistance à la corrosion, coût, disponibilité, facilité de mise en œuvre et fonctionnalités multiples, la liste des critères de choix est longue.

Les puits géothermiques à basse énergie sont en mesure de produire de l’énergie économiquement très attrayante. Mais comment sélectionner judicieusement les matériaux et les technologies permettant de prévenir la corrosion et la dégradation dans ces puits de production et d’injection et dans les installations de surface ?

La volonté de maîtrise du vieillissement des installations nucléaires a contribué à la mise en place d’un processus pérennité permettant la réévaluation constante de la conformité des équipements. Illustration est faite avec les retours d’expérience des usines de La Hague.

La corrosion ne frappe pas seulement les métaux, les dégradations chimiques des céramiques portées à haute température peuvent se révéler importantes. La composition et la gamme des céramiques sont très diversifiées, par contre leurs mécanismes réactionnels de la corrosion restent limités.

La qualité des matériaux réfractaires permet de  garantir la longévité des systèmes mécaniques, la corrosion à chaud étant la cause première de leur dégradation. Mais comment tester ces métaux et ces alliages dans des conditions proches des conditions réelles de fonctionnement ?

Connaissez-vous les mécanismes d’action des inhibiteurs de corrosion en milieu aqueux ? Souvent associés à des inhibiteurs d’entartrage ou à des produits modifiant légèrement le pH, ils diminuent la vitesse de corrosion, sans faire varier notablement la concentration en agent corrosif.

Découvrez pourquoi le titane et ses alliages sont couramment utilisés en milieu marin et dans de nombreux procédés chimiques. À l’excellente tenue à la corrosion de ce matériau noble, s’ajoutent les avantages d’une durée de vie longue et d’un recyclage aisé.

Le phénomène de fragilisation par l'hydrogène associé aux aciers durcis affecte de nombreux éléments structurels de l'industrie automobile et de l'aéronautique. Etudiez les problèmes associés à l’hydrogénation et au dégazage de produits mis sous contrainte durant leur utilisation.

Une transition mondiale vers des systèmes énergétiques plus durables, abordables et fiables ne peut faire l’impasse du défi lié à la corrosion des matériaux structurels. Plusieurs thèmes sont concernés notamment la limitation des émissions de gaz à effet de serre et la dégradation des sources de production d’énergie décarbonée ou bas carbone.

L’aluminium est un des matériaux métalliques usuels le plus résistant à la corrosion, comparativement aux aciers faiblement alliés, au zinc et au cuivre. Cependant, le comportement à la corrosion des alliages d’aluminium varie très fortement en fonction de leur composition et des traitements métallurgiques reçus.