L’industrie cosmétique utilise un grand nombre de procédés d’extraction d’actifs. Les techniques conventionnelles, celles de séparation, de concentration, de séchage et de purification, mais aussi de plus innovantes avec l’extraction assistée par ultrasons ou l’utilisation de solvants alternatifs.

Savez-vous que l’utilisation d’outils sensoriels est devenue incontournable dans les projets d’innovation du secteur cosmétique ? Les méthodes sont conventionnelles (discriminatives, descriptives, hédoniques) ou plus récemment alternatives pour un positionnement rapide des produits.

Apprenez que les cosmétiques dépigmentants, dont l’intérêt est croissant, contiennent des actifs aux effets néfastes. Ainsi, hydroquinone, corticoïdes et dérivés mercuriens intervenant dans la mélanogénèse seraient la cause de développements de complications cutanées ou de lésions du visage.

Les conservateurs sont indispensables pour protéger le produit d’une contamination microbienne et garantir une durée de vie optimale. Les parabènes, très décriés pour leur possible caractère cancérogène, sont progressivement abandonnés au profit de solutions naturelles comme les huiles essentielles.

En cosmétique, le dosage des principes actifs et des substances réglementées est une nécessité réglementaire. Cependant, la mise sur le marché en continu de nouveaux actifs oblige l’adaptation permanente des méthodes analytiques et la complexité des matrices ne permet pas une analyse simple.

Les consommateurs, avertis des effets néfastes de la pollution de l'air sur la peau, orientent de plus en plus leur choix vers des cosmétiques revendiquant une activité anti-pollution. Mais quels sont les polluants atmosphériques auxquels nous sommes exposés ?

Les lancements de produits cosmétiques censés protéger la peau des effets néfastes de la pollution atmosphérique sont de plus en plus nombreux. Mais comment évaluer l’activité anti-pollution d’un actif ?

La chute de cheveux est l’une des principales problématiques liées au cheveu, et les causes sont multiples. Mais quels sont les principaux types d’actifs capillaires, naturels ou synthétiques, leurs modes de fonctionnement, et  les différentes méthodes scientifiques permettant de valider leurs activités ?

Le choix des antioxydants, naturels ou de synthèse, dépend du type de cosmétique à préserver mais aussi de son environnement comme l’emballage, son exposition aux UV…Des tests d’activité permettent d’optimiser la sélection.

Plongez dans l’Antiquité et ses parfums, utilisés aussi bien pour un usage profane que religieux. Des études, réunissant botanistes, archéologues, chimistes et parfumeurs, sont conduites sur les matières premières, la composition chimique et les caractéristiques olfactives des parfums antiques.