Le Patroller de Sagem / Safran
Cocorico. Ce drone français peut voler jusqu’à 24h sans s’arrêter, embarquer 250 kg de matériel et se montrer d’une discrétion absolue grâce à une innovation qui atténue sa signature infrarouge.
Mais surtout, son système évolutif multi-senseurs lui permet de s’adapter à chaque nouvelle mission qui lui est confiée. Cette grande modularité est incontestablement l’un de ses principaux atouts !
Consulter le site internet de Safran
Le drone Spy’Ranger de Thalès et Aviation Design
Voici le nouveau drone de reconnaissance de l’armée française ! Thalès a remporté ce marché face à Airbus qui proposait le drone Skyghost de sa filiale Survey Copter et l’Israélien Elbit.
Résultat : une commande de 210 drones (100 millions d’euros).
Transportable en sac-à-dos, il pèse moins de 15 kg et possède une autonomie de 2h30. Déployable en 12 minutes, l’engin transmet des vidéos en temps réel jusqu’à 30 km de la station.
Spy’Ranger équipera les forces françaises à partir de 2019.
Consulter le site internet de Thalès
Le drone gonflable de la start up Diodon
Les drones SP20 et MP40 de cette jeune entreprise française ont tout pour plaire : légers, résistants, peu encombrants et tout terrain, leur armature gonflable leur permet d’absorber les chocs et de se poser sur l’eau.
Une seule minute suffit à les déployer. Ils embarquent bien sûr plusieurs types de capteurs et une caméra vidéo HD. En revanche, leur autonomie limitée (environ 20 minutes) contraint à un pilotage efficace.
Consulter le site internet de Diodon
Le drone-hélicoptère de Helipse
Le modèle 220-E est particulièrement utile en agriculture ou en topographie. Volontairement simple d’utilisation, il se veut être une alternative intéressante aux multirotors qui dominent le marché.
Capable de couvrir plusieurs dizaines d’hectares en moins d’une heure, L’Helipse a notamment été employé par la société Agribird qui avait besoin de lâcher des insectes au dessus de plantations afin de combattre des nuisibles.
Consulter le site internet de Helipse
Le drone Drop’n drone d’Airborne concept
Fondée en 2014 à Toulouse par un ancien pilote de l’armée de l’air et un ancien ingénieur des essais en vol chez Airbus, cette jeune société a imaginé un vrai petit bijou : le premier drone largué par avion ou hélicoptère !
Cette caractéristique a un avantage immédiat : Drop’n Drone ne consomme pas d’énergie pour le décollage. Côté moteur, il est alimenté par une petite pile à hydrogène couplée à une batterie lithium-polymère. Résultat : son autonomie dépasse les 6 heures, une jolie prouesse si on le compare aux autres drones de sa catégorie.
L’ Armée s’y intéresserait pour de l’observation, Airbus y verrait un intérêt pour étudier un crash aérien et Orange, pour inspecter ses infrastructures.
Consulter le site internet d’Airborne Concept
Par Iris. T.
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