« Compte tenu des incertitudes, la France a raison d’appliquer le principe de précaution », insiste-t-elle, rappelant que « pour extraire le gaz, il faut en effet provoquer des explosions souterraines dont on ne maîtrise pas l’impact ».
« On ne sait pas si ces fracturations hydrauliques ne risquent pas de provoquer des fuites de gaz dans les nappes phréatiques et de contaminer l’eau potable », ajoute Mme Royal.
Toutefois, poursuit-elle, « moi, je ne suis pas dogmatique et si de nouvelles technologies non dangereuses apparaissent, pourquoi pas ? »
Déjà en 2011, l’ancienne candidate à la présidentielle de 2007 avait jugé « nécessaire de poursuivre la recherche sur les procédés d’extraction propres à long terme ».
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