« Devenir le numéro 1 du photovoltaïque de 3ème génération ». Telle est l’ambition affichée par Stéphane Poughon, président de DisaSolar. L’entreprise, qui commercialise et installe des panneaux photovoltaïques flexibles « Thin films » dits de « 2egénération », prépare l’avenir et mène en parallèle le développement de panneaux dit de « 3e génération », ou photovoltaïque organique.
Son objectif est de mettre au point un procédé de fabrication de panneaux solaires organiques souples par impression. Pour y parvenir, la PME implantée à Limoges développe ses partenariats. Après les deux laboratoires publics CEA/INES et CNRS/XLIM et le Queens University canadien, c’est au tour du Holst Centre / Solliance aux Pays-Bas de s’associer à cette dynamique.
« Grâce aux compétences et aux forces conjuguées des 4 laboratoires de recherche avec lesquels nous coopérons, nous avons aujourd’hui les moyens de notre ambition » se félicite Stéphane Poughon. Pour compléter ce « cloud », DisaSolar peut aussi compter sur son partenaire Ceradrop, une PME spécialisée dans l’électronique imprimée et qui a pour mission le développement de solutions d’impression jet d’encre dédiées.
Par Audrey Loubens, journaliste scientifique