« Ce prix Nobel de Physique, c’est une belle aventure parce que ces chercheurs se sont obstinés, ils ont été traités avec un peu de condescendance il y a une dizaine d’années », a-t-elle souligné au sujet de ces trois inventeurs – deux Japonais et un Américain d’origine japonaise – de la diode électroluminescente (ampoule LED) bleue, une technologie désormais omniprésente dans notre quotidien.
« Ils arrivent aujourd’hui avec ce prix mondialement reconnu à partir de programmes de recherche considérés à une époque complètement marginaux et qui sont aujourd’hui au coeur de la transition énergétique », a insisté la ministre, évoquant dans un sourire « les lumières bleues pour la croissance verte ».
L’un des lauréats, Shuji Nakamura, a dit mardi espérer « que ces éclairages électroluminescents, économes en énergie, vont aider à réduire la consommation énergétique et à faire baisser le coût de l’éclairage dans le monde entier ».
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