Entre 150 et 200 milliards de spams sont envoyés chaque jour dans le monde, soit environ 90 % de l’ensemble des mails. Sur un an, cela correspond à la consommation d’électricité de 2,4 millions de foyers américains. Le spam se diversifie en s’attaquant à Facebook ou encore Twitter.
Crise ou pas crise, tous les indicateurs restent au vert pour les spammeurs. D’après l’observatoire du spam mondial de Google (*) qui a publié son enquête début juillet, les spams connaissent une hausse globale de 53 % par rapport au premier trimestre 2009 et de 6 % par rapport au deuxième trimestre 2008.