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Activités internationales de l’entreprise : la nouvelle donne

Posté le 27 mars 2011
par La rédaction
dans Environnement

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Aborder aujourd’hui le nouveau contexte international, revient inévitablement à évoquer les thèmes de la mondialisation et de la globalisation, notions génériques qui se sont affirmées ces dernières années pour rendre compte de l’évolution du système international. Il s’agit de termes de plus en plus employés et sujets à de nombreuses polémiques. La globalisation a souvent une image soit très polémique et négative, soit réductrice et limitée à la simple expansion du « commerce ». Pourtant, le processus de globalisation ne saurait se réduire au libre-échange et englobe une libération des restrictions sur les mouvements des capitaux à une échelle globale. Il s’agit en effet de faciliter la circulation des hommes, des marchandises, des idées, et de prolonger l’accès aux investissements, aux ressources naturelles autrefois domaine exclusif des États. C’est pourquoi la vision globale de ce nouveau contexte donne naissance à de nouveaux risques, à de nouvelles opportunités et à de nouveaux enjeux aussi bien au niveau micro et macro-économique que politique ou social. Les inégalités par exemple sont, aussi bien à l’échelle du globe qu’au niveau individuel et des États, au centre des préoccupations. L’évolution du contexte global les augmente-t-elle ? Faut-il continuer à développer les échanges pour les réduire ? Ou au contraire s’enfoncer dans le repli, le protectionnisme et le « patriotisme économique » ?

Tout comme l’ont été le capital, le travail et les ressources naturelles, les progrès technologiques des télécommunications, des transports sont indiscutablement les moteurs de ce nouveau contexte international en perpétuelle et rapide mutation. Ils sont les moteurs d’une économie fondée sur le savoir. Si l’on souhaite aujourd’hui être un acteur de l’économie globale, il est indispensable de maîtriser tous les aspects liés à la connaissance. Il s’agit en partie de savoir la gérer, la produire, l’acquérir ; et ce, aussi bien pour la petite PME exportatrice, que pour l’État français par exemple qui, par son action ou inaction, influe sur la compétitivité des entreprises françaises et sur la place de la France au plan mondial.

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